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18 mars 2013 1 18 /03 /mars /2013 09:04

La Vie après la vie (3) 

 

Les N.D.E partielles

 

« Ne pourrais-je emprunter les ailes de l’Aurore et qu’elles me déposent au-delà de la mer ? »

      ( Ps 139-9 )

goeland bon3

 

Le vol de Frédéric Icare

 

Frédéric est parti à son collège comme d’habitude, ce 24 mars 1993. Bel adolescent de 15 ans au regard clair, Frédéric a toujours été un tendre. Les animaux, la nature, voilà ce qui l’intéresse. Les objets n’ont jamais beaucoup compté pour lui mais depuis quelques jours, il a pris encore davantage de distance par rapport à son environnement matériel. Il est plus aimant que jamais et en même temps rêveur, comme dans la lune, ou plutôt comme sur une étoile. Transformé, paisible, libéré de l’anxiété qui l’empêchait de gérer sans stress ses soucis quotidiens, il dégage une paix et un contentement intérieur surprenants.

 

Que se passe-t-il se demande sa maman avant de réaliser que le changement remonte à ce matin du 15 mars où  Frédéric est venu vers elle, radieux, illuminé par une grande joie :

 « Maman, j’ai fait un rêve merveilleux : je VOLAIS, c’était fantastique ! Il y avait des trous d’air puis je m’élevais de nouveau, c’était vraiment formidable. Comme j’aimerais recommencer !

- N’y compte pas trop car il est  bien rare  de refaire deux fois de suite le même rêve. »

 

Le 24 mars dans l’après-midi, les parents de Frédéric reçoivent un coup de fil de son établissement scolaire annonçant une terrible nouvelle : leur fils avait été victime d’un accident cardiaque que rien ne permettait de prévoir. En dépit de la rapidité des soins, on n’avait pu le ranimer.

Ainsi, s’était envolé pour de bon, l’adolescent au cœur pur qui, neuf jours avant de quitter la terre, avait fait non pas un rêve mais une NDE partielle.

 Au-dessus-de-la-villz.jpg

Au-dessus de la ville (Marc Chagall)

 

Il fallait se résigner à accepter l’inacceptable : Frédéric Icare, empruntant les ailes de l’aurore était parti au-delà de la mer réalisant, sans l’avoir cherché, son rêve merveilleux. Tel le petit prince, il lui avait été donné de rejoindre son étoile à l’aube limpide de sa vie terrestre.

 

Pourquoi cette mort prématurée ? Pourquoi cette NDE partielle avant un départ définitif vers l’Au-delà ?

La réponse ne nous appartient pas, bien évidemment. C’est le mystère de toute vie humaine dont le fil est coupé à un moment que nous ne pouvons connaître :  

« Seul Dieu a la prévision globale, instantanée de nos vies : Il voit, sait, et nous laisse libres. N'imputez jamais à Dieu les malheurs qui vous accablent : maladies, accidents, échecs scolaires ou professionnels... enfin, et surtout, perte d'un être cher... Même dans son Plan le plus volontaire et le plus précis dont les chemins sont insondables, Dieu ne peut vouloir la mort d'un être humain, mort qui entraînerait la souffrance pour d'autres êtres ! Dieu n'appelle personne à Lui par la mort…. Mais si Dieu n'appelle personne à Lui, Il sait quand nous lui reviendrons … » Arnaud     Vers le Soleil de Dieu

Le Dieu d’Amour a donc le souci que notre vie terrestre se parfume d’éternité, ce parfum que, sans en avoir clairement conscience, Frédéric a respiré lors de sa N.D.E. On peut donc se consoler de cet envol, si prématuré en termes de vie terrestre, en pensant que son Avenir Céleste sera lumineux comme celui de tout enfant qui a «emprunté les ailes de l’aurore » pour rejoindre l’étoile du petit prince.

Arnaud nous le confirme :  

 «  Les enfants* de mon âge, les adolescents et les jeunes gens connaissent généralement ici un enri­chissement spirituel considérable, suivant la culture qu'ils ont reçue sur terre et qui est évidemment leur point de départ. Ils sont comme de jeunes séminaristes. Leur pureté, l'absence de taches importantes en eux, la compassion de Dieu à leur égard, leur font jouer un rôle de futurs guides. » Vers le Soleil de Dieu (Tome 1)  

*Une précision importante : les mots « enfant ou jeune » doivent  être pris bien évidemment au féminin tout autant qu’au masculin. 

 

La compassion de Dieu à l’égard des enfants et des jeunes envolés s’exerce aussi envers leurs mamans, comme en témoigne la surprenante N.D.E partielle vécue par Lorette, maman d’Alexandre.  

 

UNE N.D.E DE RENCONTRE

 

Alexandre, dix-neuf ans, s’est envolé au cours d’un accident de voiture. Pour Lorette, comme pour toute maman ayant perdu son enfant, l’absence est intolérable. S’accrochant à sa foi en un Dieu d’Amour, cette après-midi là, seule dans sa maison silencieuse, elle a répété inlassablement « Seigneur Jésus, prends pitié de moi ». Puis elle s’est endormie.

Soudain, elle a entendu quelqu’un chuchoter à son oreille et s’est réveillée, pensant que son mari était rentré mais il n'y avait personne dans la pièce. Elle était seule, dans le noir et dans la plus complète solitude. C’est alors qu’a commencé pour elle son expérience dont voici des extraits :

 

Le départ

« J’ai d’abord eu la nette sensation de m’enfoncer (…), comme prise dans un tourbillon. C'était une sensation incroyable, absolument nouvelle pour moi. Jamais je ne l’avais vécue auparavant. Il n’était pas possible de la  confondre avec des rêves, des visions ou autres... Je sentais que j’étais soulevée, puis je retombais.

 

Le voyage

Je crois qu’il y a eu plusieurs tentatives, puis je suis partie. Je me suis immédiatement retrouvée en hauteur et en pleine lumière. La première chose que j'ai vue, ce fut la chambre de mon fils Alexandre, contiguë à la mienne : j'ai reconnu les meubles, les rideaux de couleur, mais ce fut l’espace d'un instant, parce qu’ensuite, à une vitesse incroyable, j’ai traversé beaucoup d'endroits. Il s'agissait surtout d’habitats, de pièces, beaucoup de pièces, où se trouvaient des gens (…)

Puis j’ai aperçu une rampe d’escalier. Je me suis immédia­tement retrouvée en haut, sur le palier, et toujours en hauteur. Là il y avait Le-vitrail-001.jpgune grande fenêtre aux vitres fermées et dont le bâti formait une croix ; à la place des rideaux, de longues cordes de couleur  réunies vers la droite. Au-delà des vitres, un rond de soleil irradiait une douce et chaude lumière.

 

J'ai probablement franchi la fenêtre et me suis retrouvée aussitôt dans une grande, imposante cathédrale*, au plafond très haut.

Des jeunes gens circulaient, réunis comme en prière ; ils étaient vêtus de tuniques grises ou blanches, ils avaient les cheveux aux épaules. Je me suis sentie tout de suite le coeur en joie. J'ai compris qu'Alexandre était là. J'ai cherché fébrilement mon fils dans chaque jeune. Je n'ai reconnu personne.

* La cathédrale est un lieu où l'on prie, où l'on médite, où l'on élève ses pensées vers Dieu, c’est donc le symbole du Très-Haut, de la Spiritualité.

 

La rencontre avec Alexandre

Arrivée au fond, dans l’abside, là où se trouve l’autel seul, j’ai découvert  un étrange instrument de musique et j'ai remarqué un jeune assis au clavier. Je me suis approchée de lui, mais pas en marchant, en étant comme soulevée au-dessus de lui. Il portait une tunique blanche avec un capuchon descendant à mi-tête.

De longs cheveux châtains dépassaient, un peu dépeignés. Il a levé la tête vers moi : c’était Alexandre ! Son visage était lumineux et son regard très doux s'est posé sur moi. Incapable de réfléchir, j'ai crié* fort son nom, puis je l'ai pris dans mes bras et je l'ai serré sur mon coeur comme une folle. Ce fut une fusion totale d’âmes qui s'aiment sans réserve et qui finalement se retrouvent.

* Bien évidemment Lorette n’a pas fait entendre sa voix, la communion s’est faite de pensée à pensée.

 

Le retour 

A ce moment, je me suis immédiatement retrouvée dans mon corps. Mon coeur battait de façon incroyable, j'ai dû avoir une tachycardie pendant plus d'une heure et demie.

 

Ce soir-là et les jours suivants, je me suis sentie différente, il me semblait presque que je flottais, je me sentais en paix, en harmonie avec moi-même et avec toute chose. J’avais l’impression de vivre encore dans cette dimension que j'avais entrevue et où j'avais eu la joie immense d'embrasser de nouveau mon Alexandre. Je voulais prier avec tout mon être pour remercier le Seigneur pour la grande grâce que j'avais reçue, mais je ne pouvais que dire : "Merci, Seigneur, merci"».

*Note : La cathédrale est un lieu où l'on prie, où l'on médite, où l'on élève ses pensées vers Dieu, c’est donc le symbole du Très-Haut, de la Spiritualité.

 

Les N.D.E de mort partagée 

 

1- Voici le témoignage d’un docteur anesthésiste-réanimateur, le docteur Postel qui a accompagné son père  lors de la N.D.E qui avait précédé sa mort, comme ce fut le cas pour Frédéric. Ce qui est surprenant dans ce cas c’est que le Dr Postel a découvert ensuite que les autres personnes de sa famille, comme lui  au chevet du mourant, avaient elles aussi partagé la N.D.E :

 

 « A la fin de l’année 2007, mon épouse, médecin, mon grand fils, infirmier, et moi-même, anesthésiste, sommes au chevet de mon père mourant. Soudain, chacun d’entre nous entre dans une sorte de vision mentale, réelle et irréelle à la fois et aperçoit ce fameux tunnel de lumière dont on parle tant, cependant que nous progressons dans un halo de lumière.

Nous restons dans la chambre un laps de temps que nous ne pouvons évaluer. Quelques heures plus tard, mon père décède. Influencés par notre commune origine scientifique, nous nous séparons sans rien échanger sur notre expérience, décidant de garder le silence et de prendre le temps d’écrire ce que nous avons vu ou ressenti. Contre toute attente, quand nous confrontons nos témoignages, nous découvrons que nous avons vécu la même expérience, séparément mais au même instant. »  

 

2- Ce témoignage ressemble à une N.D.E partielle que nous avons vécue ensemble Paul et moi le soir où Arnaud s’est envolé :

« Après son envol, de manière étonnante nous n'avons pas veillé le corps d'Arnaud, nous nous sommes réfugiés dans notre chambre, le ressentant auprès de nous.

Progressivement, derrière mes paupières closes sont apparus un tunnel puis, au bout, une lumière d'un bleu intense ouvrant sur l'infini. Le calme de Paul m'incitait à penser qu'il percevait quelque chose de similaire, ce qu'il me confirma. A plusieurs reprises au cours de la nuit nous aurons cette même vision.  

Il s’agit là d’un accompagnement d’Arnaud dans son voyage vers l’Au-delà dont il me restera une empreinte puisque ce sera le début de signes lumineux qui dureront des années sous différentes formes, et qui durent encore... »         

Mais cette expérience n’était que la suite d’une autre expérience que j’avais vécue quelques heures auparavant, à l’instant même où Arnaud quittait son corps physique et qui aura des conséquences sur mon cheminement spirituel et l’action que j’ai menée par la suite au service de l’Espérance en la Vie après la vie :

 

LA  N.D.E d’accompagnement

 

 « L'accident d'Arnaud s'est produit alors que j’étais sortie pour un court laps de temps promener notre chien. C'était un soir d'automne un peu frais et humide. Au moment où je reprenais le chemin de l'appartement et alors que quelques gouttes commençaient à tomber, brusquement une joie immense m'a envahie, cependant que mon corps libéré devenait léger, comme s’il volait. Je percevais d’une manière tellement intense la pluie, le vent, la fraîcheur du soir que j’avais l’impression de faire partie de la nuit, de me fondre en elle. J'étais toujours moi mais dans une apesanteur et une expansion qui me procuraient une plénitude de vie jamais ressentie. Ce fut un bonheur inouï.

Hélas ! quand je suis arrivée à l'appartement ce fut un malheur inouï et le reproche destructeur : comment moi qui aimais tant Arnaud avais-je pu être aussi heureuse au moment où il mourait ? Comment n'avais-je rien perçu ? Des années se sont écoulées avant que je comprenne la grâce qui m'avait été octroyée car lorsque j'ai rencontré des spécialistes des N.D.E, j’ai compris ce qui m’était arrivé et qui participe d'une N.D.E partielle : mon âme si proche de celle d'Arnaud l'a suivi dans ses premiers instants post mortem et a partagé son envol de la terre. »

* Témoignages que l’on peut trouver dans Dis-leur, Mamoune  pp 33-34. Cités par Patrick Sbalchiero dans son livre : Enquête aux portes de la mort  Ed. CLD (pp 146-147)

 

Rien de surprenant en soi si l’on admet que la fusion d’une mère et de son enfant rejoint les ondes cosmiques dès la conception : « L'embryon rêve déjà dans le ventre de sa mère qui, comme une antenne, reçoit tous les flux du Cosmos. » Vers le Soleil de Dieu (Tome 3)

          En réalité, cette union ne s’arrête pas avec la mort physique de l’enfant, surtout si grâce à un accompagnement de son itinéraire au-delà de la mort, la liaison continue, constituant en quelque sorte un cordon ombilical spirituel.

           En ce qui me concerne, la communion a continué, me permettant de commencer à écrire la biographie d’Arnaud : Mon petit Icare trois jours après son départ de la terre, alors que mon corps de chair, brisé par le choc, refusait toute nourriture et toute boisson. J’étais physiquement figée et pourtant j’écrivais avec une facilité qui me déconcertait : je revoyais toutes les étapes de la vie d’Arnaud, je le percevais dans la totalité de ses treize années de vie terrestre, car il m’était donné de voir défiler le panorama de sa vie, y compris de sa vie intérieure. Je retrouvais même des épisodes oubliés, comme si toutes ses paroles, ses actes, ses pensées avaient été enregistrés dans une mémoire qui dépassait la mienne. Il m’a fallu beaucoup de temps pour comprendre que cette capacité nouvelle en moi provenait de la N.D.E, au point qu’on pourrait logiquement en déduire que j’avais alors accès à une base de données me déroulant la vie d’Arnaud, hors de mon corps brisé et de mon cerveau atone.

                   

photo coeur-copie-1

Lorsque j’ai relu l’ouvrage, rédigé au fil de la plume en quelques semaines, j’ai compris que ce petit ouvrage n’était pas seulement un retour sur le passé d’Arnaud, enfant de la terre, c’était une ouverture vers son destin céleste*, confirmée plus tard par l’inscription mystérieuse du Cœur sur la couverture du livre.  

 

 * Il va de soi que nous ignorions que cet avenir céleste permettait de comprendre d’autres avenirs célestes et donc était destiné à apporter l’Espérance en la Vie après la vie.

 

           Et si les N.D.E avaient pour finalité de nous aider à comprendre que s’approcher des confins de l’invisible, seul ou en accompagnant ceux qui font ce voyage, était une invitation à élever nos regards au-delà de la réalité matérielle pour ouvrir nos cœurs à l’Infini, l’Infini de l’Amour ?   

 

Nicole Gourvennec

 

 Les-nuages.jpg


 

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